Hôzuki Suigetsu

Civil Nombre de messages : 2 Date d'inscription : 26/05/2008

Nom :

Hôzuki.
Prénom :
Suigetsu.
Surnom:
Suig.
Age:
15 ans.

Description Psychologique:
Comme l'indique son nom, la lune qui se reflète à la surface des flots, la silhouette de Suigetsu semble intangible, son don de liquéfaction lui permettant de jouer sur les reliefs de son corps, tantôt fin comme une anguille, tantôt fort comme un squale. Sur son visage aux traits enfantins semble se lire les émotions aussi clairement que sur le papier, peut-être est-ce là la marque de son regard aux éclats dorés on ne peut plus expressifs. Contraste à la franchise de son regard et à la pureté de son visage, un sourire de dément s'étalle constament sur ses lèvres, dévoilant une rangée de dents blanches et pointus comme celles des requins ; qui, étonament, se retrouve dans toute l'élite ninja du village de la brume sanglante. Les longs cheveux délavés qui tombent en cascade sur son visage rappellent la couleur grise de l'écume les jours où la surface pâle de la mer se teinte d'amertume.
Bien que sa forme aqueuse le laisse sans vêtements, il à l'habitude de porter un body sans manche de couleur sombre et un pantalon clair, par dessus lesquels il passe la grande cape noire de l'Hebi.

Description Physique:
A l'inverse de ce que son nom laisserait présager, Suigetsu est on ne peut plus prévisible, mais sa personnalité n'en est pas moins tout aussi complexe et élaborée que celle d'autres protagonistes. Il a tendance à foncer tête baissée sans se préoccupée des conséquences, privilégiant l'action à la réflexion, mais c'est surtout du a la confiance qu'il porte en lui et en ses étonnantes capacités. Très fier, il ne supporte pas qu'on l'ignore ou que l'on émette des doutes quand à sa valeur, et peut parfois se montrer violent dans ses gestes comme dans ses paroles envers ceux qui s'aviseraient de le calomnier. Il prend un malin plaisir à taquiner son entourage, hélas ses sarcasmes tout comme son opinion sont souvent mal accueillis par les autres, faisant un peu de lui le bourrin du groupe. Car dans le combat et encore plus dans la victoire, il aime se montrer cruel et violent, tranchant un à un les membres de ses victimes avant de les décapités, faisant honneur à son surnom de second démon de Kiri.
Cependant Suigetsu reste toujours d'humeur joyeuse et plein de zèle, du moins jusqu'à la fatigue se mette à peser sur se légendaire fainéant, le transformant en un véritable gamin exécrable comme Sasuke aime à les traîner à ses basques.

Village choisit :
Aucun (Hebi n'est pas un village mais une organisation )
Clan:
Clan Suigetsu.

Armes:
Il a une longue épée dans le dos nommé :"Le Hachoir du démon de Kiri !"(anciennement :"L'épée de Zabuza !").

Nindo:
Faire la collection ~~la plus complête des figurines DBZ~~des anciens grands épeïstes de Kiri !

Histoire :
Suigetsu est née dans le village de Kiri, où il vivait heureux avec sa famille, en paix. "Suigetsu" n'était que le surnom que lui donnait ses camarades de l'académie, son vrai prénom est suikagure. Ses parents on choisit se prénom car il faisait partit d'un clan déchut, connu sous le nom du clan "de la brume". Le jeune ninja débuttant était vraiment quelqu'un d'aimable, d'ailleurs tout ses camarades l'aimait beaucoup. Il faut savoir que Suigetsu avait une apparence d'un être humain tout à fait normal, avec des cheveux blancs qu'il tirait de son arrière grand-père, le créateur du clan de la brume. La particularité de ce clan, était que les ninjas pouvaient utiliser une technique qui les rendaient liquides, chaque coup portée sur un membre de ce clan, n'avait pas d'effet réel, du moins, la douleur était la même pour la personne, mais les membres se reconstitué automatiquement. Suigetsu en a hérité également, ce qui fait qu'il se distingua rapidement de ses camarades de l'académie.
Alors qu'il venait d'avoir 8 ans, un homme nommée "Kisame" Trahit le village de Kiri, et tua les parents de Suigetsu. Le jeune sombra alors dans le mal, souhaitant de tout son cœur acquérir les 7 épées légendaires de Kiri, mais surtout, venger ses parents en tuant Kisame, et en réunissant les 7 épée. D'après la légende du village, si un ninja réussissait à réunir les 7 épées légendaires, alors il serait capable d'apprendre un jutsu qu'aucun ninja ne saurait contrer. Suigestu rencontra Zabuza momochi, qui devint son maître. Celui-ci était étonnée par la puissance de Suigetsu alors qu'il n'était que très petit.
Trois années plus tard, Zabuza et Suigetsu désertèrent le village, tuant des dizaines de ninjas se mettant sur leur passage. Depuis, Zabuza se fit appelé "le demon de la Kiri" et Suigestu "le 2nd Démon Zabuza". Les Deux ninjas traversèrent plusieurs pays, tuèrent des centaines de personnes. Suigetsu ne cessa de progresser, il devint rapidement aussi puissant que son sensei. Puis, vint rapidement le jour où, Zabuza et Suigetsu firent la rencontre de Orochimaru, un ninja venant de déserter Konoha et de quitter une organisation secrète de criminels qu'il appelait "Akatsuki". Le ninja affronta Zabuza et Suigetsu, et gagna le combat pas si facilement. Il prit Suigetsu avec lui, et en fit un sujet de ses expériences.
Pendant des Années, Suigetsu fît l'objet d'expérience d'Orochimaru, car sa résistance était gigantesque, étant donné qu'il était le dernier de la lignée du clan de la brume. Suigetsu réussit alors a s'enfuir des griffes d'Orochimaru. Il apprit sous peu que son ancien maître Zabuza était mort, et alla récupérer son épée. Il fît le serment de venger ses parents, et de venger son défunt maitre. Une nouvelle aventure commence ici...

Civil Nombre de messages : 2 Date d'inscription : 26/05/2008

Test Rp:

La nuit venait de tomber sur le petit village, estompant les contours et effaçant les couleurs. Des nuages de pluie traversaient le ciel comme autant de chevaux lâchés sur la plaine. Les lumignons des gargotes dansaient furieusement dans le vent, telle une nuée de lucioles colorées prêtes à prendre leur envol. À cause du temps capricieux, les habitants se cantonnaient chez eux, tapis derrière les hauts murs de leurs demeures à commenter les dernières nouvelles au coin du feu. Seulement, aux portes desertes du village, battue par la pluie et les vents, une silhouette sans ombre ni forme se profilait, attendant son heure dans l'obscurité naissante. Levant un instant les yeux vers le ciel, Suigetsu vit l'image de la blonde lune luire derrière le manteau d'airain des nuages agités, toute lumière semblait peu à peu être étouffée par l'atmosphère nocturne, le sourire blanc perle du jeune homme demeurant seul dans la pénombre. Enfin le moment tant attendu arriva, ou plus exactement les bruits de pas, qui comme un roulement de tambour, annonçaient son arrivée. Poussé par le vent comme une feuille en automne l'est par la brise, un homme à la carrure imposante dévalait la rue à grand fracas, bardé d'armes tintinnabulantes qui s'entrechoquaient violement dans sa course, pas assez fort toutefois pour couvrir le mugisement du vent. A quelques pas de là, tapis dans l'ombre d'une bâtisse délabrée, Suigetsu sentait l'exitation parcourir son corps en un frisson, l'heure était bel et bien à ce que les requins apprécient le plus : la chasse.
Avec une cadence certaine, les bruits de pas contre les pierres humides et froides du petit village s'éloignaient, foulant à présent le sentier de terre battue qui serpente entre les montagnes jusqu'aux villages voisins. La respiration lente et régulière, témoignant d'une certaine habitude, l'homme couvert d'armes au tranchant luisant sous le regard des astres et d'une antique armure de samurai polie comme un miroir, progressait à grandes enjambées, son regard à l'affût d'une quelconque présence hostile. Comme enveloppée dans la nuit éternelle, la silhouette de Suigetsu se tordait d'arbre en arbre pour ne pas laisser traîner sur elle le regard perçant de sa proie, mais diffusant toutefois comme une parfum de mort dans l'atmosphère opressante de la tempête nocturne. Les sens à l'affût, l'un comme l'autre, semblaient prit dans un autre monde, l'un de ceux où l'humanité n'a pas sa place, où la seul loi est celle dictée par le plus fort, et où un gros poisson s'apprêtait à en manger un plus petit.
Dans les heures les plus sombres de la nuit, la tempête semblait rouler tout le long de la lande, suivant la course des ombres se découpant contre les flans de la montagne, en proie à tout jusant. La panique grimpait le long de l'échine de la proie, pesant plus lourd que l'armure de plaques, derrière chaque pas semblait naître un pas en écho, chaque cliquetis des armes se transformait en un rire narquois, derrière les rares arbres ployés par le vent, des ombres se profilaient narguant avec amusement le colosse surarmé sur le sentier de la peur. Après tant de périgrination et d'effort pour faire monter la pression, ressentir le plaisir de traquer une proie méfiante, Suigetsu se retrouvait à présent sur le chemin de l'ennui, tout ceci l'avait fatigué au plus haut point, il allait donc falloir finir, et vite.
Tandis que les larmes du ciel se tarissaient, formant des flaques suivant le relief déformée de la vallée, animées parfois d'un soubresaut lorsqu'un pas puissant battait la terre, comme celui de l'homme lourd de son armure et ses armes. Mais sur le chemin, il y avait à présent une flaque qui ne tremblait pas, pareille aux autres, mais que rien ne pouvait mouvoir, si ce n'est l'exitation qui transparaissait à sa surface comme un sourire en forme de croissant de lune, intangible mais bien réel. Au moment où la proie passa au dessus de la flaque, une main en émergea et rapide comme l'éclair lui saisit la jambe pour l'entraîner dans les profondeurs sans fins de cette banale flaque. Au milieu d'un abyss bleuté sans réel profondeur, l'armure et les sabres dégainés dans la crainte entraînait lentement vers le fond l'homme dont toutes les protection s'était avérées aussi fortuite que sa prétendue attention ; toujours sur ses gardes le voilà à la merci de ce qu'il avait au départ sous-estimer. L'eau s'infiltait dans ses poumons tandis qu'il s'évertuait à tenter de prendre un souffle, lui faisait lentement perdre toute facultée cognitive, laissant son instinct de survie s'effriter peu à peu, le quitter comme l'énergie qui abandonnait chacun de ses membres engourdis, pour le plonger toujours plus profondément dans les abyss de la mort. Quand la torture fut à son comble, que la mort se dessinait comme un doux échapatoir tandis que tout ses sens se brouillaient, l'homme se sentit alors comme arraché à un terrible cauchemard. La première bouffée d'oxygène lui brûla les poumons, et quand il ouvrit les yeux, s'offrit à lui le spectacle d'un enfant à la chevelure grise comme la mer glacive, et aux grand yeux jaunes à la lueur incertaine, son visage était teint d'un sourire éclatant tandis qu'il agitait sous le nez de l'homme encore en état de choc le bandeau frontale fraîchement obtenue, et encore trempé de sueur et d'eau. D'une voix traînante, sans pour autant lâcher son sourire satisfait, il demanda :

« Alors c'est bon ? »